Quantcast
Channel: Versailles in my pocket
Viewing all 194 articles
Browse latest View live

Day by day : le vrac, c’est chic !

$
0
0
Day by day : le vrac, c’est chic !

Riz, café, céréales ou savon de Marseille au poids, produits d’entretien au litre : l’épicerie « day by day », installée rue de Montreuil à Versailles, s’affranchit des emballages et suremballages. Venez avec vos boites et bouteilles, découvrez une façon de consommer différente, plus respectueuse de notre rythme de vie et de la planète, loin des diktats du marketing et du « packaging ».

Le saviez-vous ? Selon France Nature Environnement, nous jetons chaque année environ 7 kilos de produits non déballés et non consommés par personne. Les foyers français mettent à la poubelle, en moyenne, entre 500 et 1500 € par an de nourriture encore consommable… Fort de ce constat, Didier Onraita a imaginé « day by day », un concept de magasin de proximité qui propose des produits du quotidien sans emballage et en quantité à la demande, soit près de 400 références vendues au poids : pâtes, riz, céréales, thé, café, épices, farines, légumes secs, fruits secs, biscuits, confiserie et également savons, produits d'entretien et boites de rangement. Après avoir ouvert en mai 2013, avec succès, un premier magasin situé à Meudon-la-Forêt, Didier et ses associés viennent d’inaugurer leur deuxième boutique à Versailles, rue de Montreuil.

Des produits d’origine française pour la plupart, en libre-service

Aux commandes de la boutique versaillaise, Nathalie Garde a le sens de l’accueil. « Nous fonctionnons comme un libre-service accompagné. Soit les clients se servent, soit nous les servons, comme ils préfèrent. Et nous sommes là pour donner des conseils à ceux qui le souhaitent » explique-t-elle avec un grand sourire et beaucoup de bonne humeur. « Nous proposons tous les produits du quotidien, alimentaires et non-alimentaires, à longue durée d’utilisation, soit aucun produits frais » indique Didier, avant de poursuivre : « Environ 40% des références sont bio, mais nous ne jouons pas la carte du tout-bio, afin de conserver des prix accessibles au plus grand nombre. En revanche, nous nous fournissons au plus près des producteurs, en majorité français. Cette sélection de nos fournisseurs et la traçabilité qui va de pair sont des gages de qualité ». Ainsi, les cafés (en grain, à moudre sur place) viennent du grand torréfacteur alsacien Sati et les pâtes, elles-aussi alsaciennes, sont fabriquées par la maison Heimbuger. Même démarche avec les produits d’entretien : fournis sous forme de liquide concentré, ceux-ci sont issus de la chimie végétale et fabriqués dans les Vosges : nettoyants sol ou multi-surfaces, vitres, lessive, tous sont certifiés Ecocert et hypoallergéniques. Day by day distribue enfin les produits d’hygiène corporelle de la savonnerie traditionnelle Marius Fabre, à Marseille : savon à l’huile d’olive (72%) à la coupe ou sous forme de chutes de production (30% moins cher), mais aussi des savons liquides.

La liberté d’acheter la quantité que l’on veut

Concrètement, comment ça marche ? C’est simple : on peut ici acheter la quantité que l’on veut : 100 g pour tester ou 1 kilo, selon son besoin et l’espace de stockage dont on dispose chez soi. La boutique peut vous fournir des contenants, mais ce n’est pas sa vocation : il est conseillé d’apporter ses boites, bocaux et bidons. Et bien sûr, des sachets sont à disposition en boutique. « Une cliente nous a suggéré d’aménager un espace d’échange pour bocaux et boites vides, ce que nous avons fait, et de nombreux clients jouent désormais le jeu, amenant des contenants nettoyés pour les mettre à disposition d’autres clients, gratuitement, plutôt que de les jeter » se félicite Nathalie. Outre les 400 références déjà en magasin, l'enseigne travaille actuellement à enrichir encore son offre, avec notamment une gamme de produits cosmétiques. « Le vrac, c’est meilleur pour soi et pour l’environnement, ça revient moins cher et cela s’adapte à chacun ! C’est une formule éco-responsable, parce qu’elle consomme moins d’emballages, éthique car elle contribue à réduire le gaspillage, et enfin économique parce qu’elle permet de manger mieux avec le même budget » s’enthousiasme Didier Onraita. Alors, venez faire un tour rue de Montreuil avec force cabas et bocaux, vous ne le regretterez pas !

day by day
9, rue de Montreuil à Versailles- Plan d'accès
Du mardi au vendredi : 9h30 / 13h00 - 15h30 / 19h30
Samedi : 9h30 / 13h00 - 15h30 / 19h30
Dimanche : 9h30 / 12h30 - Téléphone 01 39 50 41 96
Site internet http://daybyday-shop.com/
La page Facebook pour suivre toutes les actualités du magasin
Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !

DietGourmande : des ateliers pour allier plaisir et santé

$
0
0
DietGourmande : des ateliers pour allier plaisir et santé

Dans son fameux « Atelier cuisine », place du Marché, Patricia Boussaroque a convié la diététicienne Ariane Baichère pour concocter, à deux, un cours de cuisine baptisé « DietGourmande ». Au programme, chaque mois, un menu différent. Objectif ? Se faire plaisir en se faisant du bien ! Une nouvelle occasion de prouver que diététique et gastronomie peuvent faire très bon ménage.

Depuis 2009, Patricia Boussaroque dispense aux gourmets versaillais les rudiments de son art culinaire. « Mon ambition, depuis le démarrage, est de donner aux gens le plaisir de cuisiner, en leur transmettant les techniques de base et en leur apprenant à choisir les ingrédients, en leur faisant découvrir de nouvelles saveurs, de nouvelles associations, en leur donnant enfin de nouvelles idées pour éviter le ronron du quotidien et retrouver le bonheur de se réunir autour d’un repas cuisiné avec amour » explique-t-elle. En septembre 2011, Ariane Baichère vient prendre un premier cours de cuisine. Conquise, elle souscrit un abonnement et sympathise au fil des cours avec Patricia. « Plusieurs clientes me soutenaient alors que des cours de cuisine n’étaient pas conciliables avec le désir de garder sa ligne : j’ai eu envie de leur prouver le contraire, je me suis dit qu’Ariane, diététicienne de métier, était la mieux placée pour m’aider dans ma démarche. De là sont nées nos sessions mensuelles DietGourmande » raconte Patricia.

Mieux se nourrir pour être en bonne forme et préserver sa santé

En effet, halte aux idées reçues ! On peut tout à fait se faire plaisir sans pour autant traumatiser sa balance. Tout est une question de taille des portions, mais aussi de bilan quotidien, d’où l’intérêt de prendre en compte la journée dans son ensemble. « Pendant les cours DietGourmande, alors que les participants sont en train de cuisiner, la parole se libère, les questions fusent, sur des sujets très variés : apport calorique, modes de cuisson, préservation des vitamines, association d’aliments, conservation, etc. Je réponds au fil de l’eau, de façon très concrète, avec des exemples. Nous échangeons tout le long de la préparation, puis ensuite, pendant le repas que nous partageons tous ensemble » précise Ariane. Quant au public de ces sessions, il est très diversifié et comprend certes des personnes préoccupées par leur poids, mais aussi de nombreux cuisiniers amateurs de tout âge, désireux de mieux se nourrir pour être en bonne forme et préserver leur santé. « Avec cette formule, nous voulons prouver que l’on peut manger tout ce que l’on veut, à condition de respecter un équilibre alimentaire global. J’apprends par exemple à certains participants qu’il est inutile de manger de la viande midi et soir, tous les jours, ce qui génère d’importantes économies sur un budget hebdomadaire ! Des économies que l’on peut notamment consacrer à acheter de meilleurs ingrédients pour cuisiner de façon plus qualitative » ajoute la diététicienne.

Un moment convivial et instructif

Concrètement, chaque mois, Ariane et Patricia composent un menu présentant une combinaison entrée/plat/dessert idéale au niveau diététique. En prévision du cours, Patricia fait alors les courses au marché Notre-Dame chez ses fournisseurs attitrés : Garry Guette, L’Espadon, Bougeard, Olives et Tentations, La Maison du Sud-Ouest, Le Gall, Darras… A 10h30, les participants arrivent à l’atelier et font connaissance autour d’un café, avant d’enfiler leur tablier et de se lancer à l’assaut des fourneaux. Chacun a sa fiche recette et peut l’annoter à loisir, afin de ne rien oublier, chacun s’active et, vers 13h, c’est prêt : on passe à table ! Ce mois-ci, le menu « DietGourmande » comprenait une vichyssoise d'asperges à l'anis vert, suivie de petits farcis provençaux et d’un pain perdu aux cerises et à la cannelle, glace vanille (durée de l’atelier : 3h30 / tarif : 90 €). Alors, inscrivez-vous vite pour les sessions de la rentrée afin d’épater vos proches !

L'atelier cuisine de Patricia
4, rue André Chénier
78000 Versailles
Tel : 01 71 42 82 42
www.lateliercuisinedepatricia.com/

Ariane Baichère, diététicienne http://arianebaicheredieteticienne.wordpress.com/

DietGourmande : des ateliers pour allier plaisir et santé DietGourmande : des ateliers pour allier plaisir et santé DietGourmande : des ateliers pour allier plaisir et santé DietGourmande : des ateliers pour allier plaisir et santé

Les passions de Tom : Versailles en mode vintage

$
0
0
Les passions de Tom : Versailles en mode vintage

Quoi de commun entre un canapé Le Corbusier et une figurine géante de Bart Simpson ? Réponse : ils trouvent tous deux leur place dans la boutique de Tom Allée, chineur invétéré, passionné par les mythologies du XXème siècle.

Meubles, luminaires, bibelots, jouets anciens : si la part belle est faite aux années 50/70, Tom n’est pas exclusif et propose aussi des articles plus anciens…ou plus récents. Lui qui marche au coup de cœur se considère comme un ‘’passeur’’ : « Je déniche des objets dont des personnes veulent se défaire et organise leur transition vers un autre décor où ils démarreront une nouvelle vie » explique-t-il avec enthousiasme.

La brocante dans la peau

Versaillais d’origine, Tom Allée a toujours aimé traîner dans des brocantes. Il y a quelques années, il décide de se consacrer à sa passion et d’ouvrir sa première boutique, rue du Vieux Versailles. « Avec mon père, nous ne connaissions guère ce monde et avons essuyé quelques déboires au démarrage. Mais la passion était là, ça aide ! Peu de temps après, j’ai sympathisé avec un client passionné de mobilier du XXème siècle. Grâce à lui, j’ai appris à mieux connaître cette période et, de fil en aiguille, j’ai commencé à me spécialiser. Lorsqu’il a quitté le métier quelques années plus tard, j’ai d’ailleurs repris son stand aux Puces du Design à Paris » indique Tom, qui, après avoir quelques temps occupé une autre boutique rue du Vieux Versailles, vient tout juste de s’installer à l’entrée du passage des Antiquaires, au 10 rue Rameau.

Chasse aux trésors vintage

Son stock, Tom le renouvelle en intervenant chez des particuliers qui font appel à lui, mais aussi en écumant les salles des ventes et internet. Grand amateur de mobilier danois, il fait venir de nombreux meubles de ce pays et compte s’y rendre de plus en plus souvent. « Je suis fasciné par la modernité de certaines pièces qui ont pourtant été dessinées il y a plus de 80 ans, à l’image des canapés Le Corbusier réédités par Cassina. La trouvaille dont je suis le plus fier ? Un miroir de Line Vautrin en Talosel, datant des années 50, découvert chez un brocanteur. Le truc le plus délirant que j’ai acheté ? La famille Simpson, de grandes figurines de PLV éditées à la sortie du film éponyme » poursuit-il. Mais qu’on ne s’y trompe pas : si la boutique recèle des trésors vintage, tout n’est pas hors de prix, loin de là, et l’on peut trouver son bonheur à partir de 10€. Alors, aucune raison d’hésiter avant de pousser la porte de chez Tom, pour une parenthèse de joyeuse nostalgie.

Les passions de Tom, 10 rue Rameau à Versailles

(à l’entrée du passage des Antiquaires)
Téléphone 06 60 35 17 45

Horaires : vendredi/samedi/dimanche, de 11h à 19h (et sur RV)

www.lespassionsdetom.fr

La page Facebook pour ne rater aucune actualité

Les passions de Tom : Versailles en mode vintageLes passions de Tom : Versailles en mode vintageLes passions de Tom : Versailles en mode vintageLes passions de Tom : Versailles en mode vintage

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Patricia

$
0
0
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Patricia

Installée à Versailles depuis une douzaine d’années après avoir longtemps habité Le Chesnay, Patricia Boussaroque connaît bien la ville. Cette cuisinière hors pair, qui dispense ses précieux conseils aux apprentis marmitons versaillais dans le cadre de son fameux atelier, nous a confié ses adresses favorites dans la cité royale.

Faites-vous vos courses à Versailles ?

En majeure partie oui, j’ai le souci de faire travailler les commerçants et artisans de ma ville. Je me fournis avant tout sous les halles, où j’ai mes habitudes, à la fois professionnelles et personnelles. Mais j’ai aussi d’autres coups de cœur, comme nous le verrons plus loin, notamment en matière de décoration.

La table tient une grande place dans votre vie, et vous sélectionnez vos produits frais avec beaucoup d’exigence. Chez qui allez-vous les yeux fermés pour acheter vos ingrédients ?

Pour les fruits et légumes, direction Garry Guette (Carré aux Herbes, rue du Marché Neuf, Marché Notre-Dame), pour le poisson c’est L’Espadon (Carré à la Marée, rue du Marché Neuf, Marché Notre-Dame) et pour la viande Bougeard père (Carré aux Herbes, face à Gary Guette). Si je cherche une belle volaille, c’est à la Maison du Sud-Ouest que je suis sûre de la trouver (Carré à la Marée). Pour les épices et tous mes ingrédients de pâtisserie, je fais confiance à Olives et Tentations (Carré à la Marée). Enfin, je suis une inconditionnelle des fromages de chez Le Gall (Carré à la Marée), chez qui je prends aussi la crèmerie. Quand je suis à l’Atelier, je prends souvent mon pain chez Darras (16 rue du Maréchal Foch) : j’adore leur pain forestier et leur baguette aux céréales. Pour les petites douceurs, si je ne suis pas moi-même aux fourneaux, il m’arrive de craquer sur le flan nature (divin) de chez Philippe Pelé (21 rue Carnot), qui fait aussi très bien les macarons (tout particulièrement celui au café !). Enfin, je confesse un faible pour les glaces et celles de San Luis le glacier (Carré à la Viande, rue André Chénier) me ravissent. Parmi mes favorites : lait d’amandes, café, noix de coco et rhum-raisins.

Dans quelles autres boutiques avez-vous vos habitudes ?

Mon péché mignon, en dehors de la cuisine, c’est la décoration. En matière de peinture et de papiers peints, j’apprécie beaucoup les conseils de Jennifer chez McPherson’s Colours (20 rue du Vieux Versailles) : elle est très pro, elle a l’œil et peut jouer un vrai rôle de consultante sur vos projets, n’hésitant pas à se déplacer chez vous si besoin. Toujours dans le quartier Saint-Louis, pour tout ce qui est confection (rideaux, stores), je vais chez Tout’ autre chose (11 rue d’Anjou), où l’on trouve aussi des nappes, des objets de déco, des luminaires, des plaids... Karine, la charmante et compétente propriétaire des lieux, y propose une sélection de qualité, qui permet de découvrir des pièces et des tissus sortant de l’ordinaire. Enfin, je suis une fan de la vaisselle Sabre (9 rue Hoche) : une marque française dont le créateur est Chesnaysien et dont mes clients américains raffolent ! Pour les vêtements, j’ai trois adresses fétiches : Little S (18 rue de la Paroisse), qui diffuse des marques que l’on ne voit pas partout (American Vintage, Bas&sh, Paul & Joe Sister, Petite Mendigote,...) ; ensuite, dans un style plus classique, British House (17 rue Hoche), pour leurs pièces italiennes en lin (chemisiers, pantalons). J’aime aussi beaucoup la boutique By Talla (3 rue des Deux Portes) qui propose des articles de grandes marques (lingerie, maillots de bain et accessoires), j’y vais parfois juste pour le plaisir des yeux. Enfin, dernière boutique et non des moindres où j’ai mes habitudes : L’Heure des Mamans (9 rue de la Paroisse). Plus qu’une librairie, c’est un lieu où l’on vient prendre un thé, manger un cheesecake (ou un muffin aux Oreos, ma fille en est dingue), discuter autour des livres et surtout se faire conseiller en fonction de ses goûts. C’est devenu si rare !

En matière de bien-être et d’esthétique, quelles sont vos adresses fétiches ?

Pour mes cheveux, je vais chez Elisabeth Le Hé (15 rue Hoche), où Christelle, non contente d’être vraiment adorable, me coiffe très bien. Je fréquente sinon peu les salons d’esthétique, mais je confie mes mains à une jeune manucure qui se déplace à domicile et est en train de lancer son activité : elle s’appelle Nathalie Chéret et je veux profiter de l’occasion pour lui donner un coup de pouce ! Mon seul vrai luxe, c’est un abonnement au Spa Guerlain du Trianon Palace (1 boulevard de la Reine) où je vais nager régulièrement, une fois par semaine minimum. Et quand mon dos me le permet, je fais volontiers du jogging au Haras de Jardy.

Vous qui aimez tant cuisiner, allez-vous tout de même de temps en temps au restaurant ?

Cela m’arrive bien sûr ! Tout près de l’atelier, le midi, j’aime beaucoup la formule que propose Le V (3 rue Ducis) : leur plat du jour ne me déçoit jamais. J’ai découvert il y a peu la table de Zin’s Artisan Cuisinier (125 rue Yves Le Coz à Porchefontaine) : une cuisine délicieuse, élaborée par un chef très talentueux. Si je suis avec mes enfants, nous allons volontiers à La Cantine des Grands (1 rue André Chénier), ou parfois à La Pampa, près de chez moi (1 avenue de Maintenon au Chesnay).

Et pour vos soirées versaillaises, où sortez-vous ?

J’aime beaucoup le Cyrano (7 rue Rameau) et le Roxane (6 rue Saint-Simon), et j’y vais souvent, pour soutenir à ma manière ces salles de proximité qui sont une vraie richesse… Pourvu qu’elles restent là encore longtemps ! J’ai eu la chance d’assister à plusieurs spectacles à l’Opéra Royal, c’est un lieu vraiment magnifique. Je me rappelle aussi d’un récital de Cécilia Bartoli dans la Galerie des Glaces, un soir de l’été 2011. Au-delà du concert lui-même, je garde un souvenir ému du crépuscule tombant sur le parc déserté : une splendeur !

L'atelier cuisine de Patricia
Poissonnerie L’Espadon
Boucherie Bougeard
La Maison du Sud-Ouest
Epicerie fine Olives et Tentations
Fromagerie Le Gall
Boulangerie-pâtisserie Darras
Boulangerie-pâtisserie Maison Pelé
San Luis Le Glacier
Le blog de McPherson’s Colours
Tout’autre chose
Vaisselle et déco Sabre
Little S
British House
By Talla
Librairie-salon de thé L’Heure des Mamans
Coiffure Elisabeth Le Hé
Spa Guerlain Trianon Palace
Restaurant Le V
Restaurant Zin’s Artisan Cuisinier

Restaurant La Pampa
Cinémas Cyrano et Roxane
Château de Versailles Spectacles

Photos © Versailles in my pocket

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de PatriciaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de PatriciaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de PatriciaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de PatriciaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de PatriciaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de PatriciaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de PatriciaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de PatriciaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Patricia

Versailles, berceau de la griffe Marie Martens

$
0
0
Versailles, berceau de la griffe Marie Martens

Je vous la présentais l’année dernière sur le blog : la créatrice belge Marie Martens, Versaillaise d’adoption, a installé son atelier au cœur de la cité royale. Après sa marque de bijoux Marie-moi et ses emblématiques ‘’puppets’’, la jeune femme lance aujourd’hui une marque d’accessoires, sous son nom cette fois. Une ligne de sacs au luxe discret, à la fois ultrachic et espiègle.

Marie Martens en avait le projet depuis de longues années, mais lancer une marque de maroquinerie ne s’improvise pas. A l’heure où elle porte sa nouvelle griffe éponyme sur les fonds baptismaux, avec une présentation au prestigieux salon parisien Who’s Next début juillet, la jeune femme revient sur sa démarche de création. « Si j’ai commencé à me faire connaître par les bijoux, l’idée de proposer des accessoires était déjà là, en parallèle. Mais j’avais envie de le faire dans les règles de l’art, en choisissant de belles matières comme le cuir ou le cachemire. Une fois mes modèles imaginés, sur le papier, j’ai donc entrepris de trouver de belles peaux et des fabricants qui me garantissent un fini haut de gamme. Mes fournisseurs sont situés en France, en Italie et au Maroc. Ils travaillent tous pour de grands noms de la maroquinerie, un gage de qualité indispensable pour être sûre de proposer un produit irréprochable » explique-t-elle.

Un double héritage

Marie Martens mise sur un luxe discret, mais décalé. Sa marque met à l’honneur une femme ultrachic qui sait aussi s’affranchir des codes. La créatrice dessine des sacs pour nomades citadins, toujours en voyage et partout chez eux. D’origine belge et amoureuse de Paris depuis toujours, Marie partage aujourd’hui sa vie entre Versailles et Gand. Son dynamisme se reflète dans sa collection, composée de modèles à la fois intemporels et originaux, qui prennent racine dans le passé de la jeune femme. « Mon père avait un sens aigu de l’esthétique et des matières, qu’il m’a transmis dès ma plus tendre enfance. Il m’a appris à porter un certain regard sur les choses et le monde qui m’entoure. Quant à l’envie d’entreprendre, je la tiens de sa mère. Ce double héritage me donne une énergie créatrice extraordinaire ! » confie la jeune femme.

Trois modèles à la fois intemporels et originaux

Pour sa première collection, Marie Martens joue subtilement avec les contrastes : du cuir associé à du daim souple, des teintes sobres rehaussées par des notes vives dans la doublure, des coupes classiques égayées par un pompon ou une touche métallique. La collection automne-hiver 2014/2015 propose ainsi trois sacs à main : la bourse Ibiza, la pochette New York et le cabas Paris, qui se déclinent dans des tons sobres mais doux, dominés par des teintes intemporelles comme le noisette, le noir, le bleu nuit, l’anthracite et le gris camouflage. Une palette minimaliste complétée par des teintes prononcées telles que le rouge sombre et des notes métallisées. Présentée en avant-première en Belgique en avril 2014, la collection a également créé l'événement sur le très ‘’tendance’’ salon Who’s Next (du 4 au 7 juillet dernier à Paris, Porte de Versailles), où Marie a enregistré de nombreuses commandes. Déjà distribués avec succès dans une sélection de boutiques, de la Belgique au Japon en passant par l'Italie, les sacs Marie Martens ont été choisis par le très pointu site Carnet de Mode qui les proposera cet automne aux internautes. En attendant une diffusion dans des boutiques parisiennes et, qui sait, versaillaises. Gamme de prix : entre 275€ et 475€. Petite marque deviendra grande : à suivre dans ces colonnes !

http://marie-martens.com/

A relire, mon article sur les bijoux de Marie Martens, qu’elle diffuse sous la marque Marie-moi.

Versailles, berceau de la griffe Marie MartensVersailles, berceau de la griffe Marie MartensVersailles, berceau de la griffe Marie MartensVersailles, berceau de la griffe Marie MartensVersailles, berceau de la griffe Marie MartensVersailles, berceau de la griffe Marie MartensVersailles, berceau de la griffe Marie Martens

Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité

$
0
0
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité

Mais où s’arrêtera Lucile Frassy ? Quelques mois à peine après avoir fêté les trois ans de sa librairie-salon de thé « L’heure des mamans », la jeune femme fait un pari osé : déménager son concept dans des locaux à sa mesure, à deux pas de sa précédente boutique. La translation, opérée en un temps record durant l’été, a donné naissance à un lieu lumineux et apaisant, vaste espace de découverte et de détente (visite en photos ci-dessous).

L’enveloppe est nouvelle, mais l’ambition de Lucile Frassy reste la même et ses partis pris également. Dans sa toute neuve Librairie-Café La Suite, elle propose sur 190 m² plusieurs ambiances : un coin littérature française, un coin littérature étrangère, une pièce dédiée aux BD, essais et ouvrages autour de l’art de vivre, plusieurs tables et banquettes disséminées au milieu des livres pour déguster un thé, un café et/ou une délicieuse pâtisserie. En traversant la cour, on accède au monde des enfants, avec une boutique de 50 m² qui leur est spécifiquement consacrée, animée par Stéphane Verne, arrière-petit-neveu du grand Jules himself.

Pour l’heure, la formule déjeuner n’est pas encore reconduite tout simplement parce que la jeune entrepreneuse est en train de constituer son équipe. Mais cela ne saurait tarder ! Et en plus des ateliers qui étaient déjà prévus dans le cadre de L’Heure des Mamans (et qui auront bien entendu lieu conformément au programme), Lucile Frassy prévoit d’organiser dès octobre des soirées littéraires en présence d’auteurs. Son dernier projet en date : des brunchs polyglottes, le dimanche, pour permettre à chacun de venir pratiquer, tout simplement, l’art de la conversation dans une autre langue, dans une ambiance conviviale. A suivre en s’inscrivant soit à sa newsletter, soit à la page Facebook de la librairie.

A relire pour mieux connaître Lucile et son concept, mon précédent article.

Horaires d’ouverture 10:00 - 13:00 / 14:00 - 19:00

Librairie-Café La Suite

3 rue Louis le Vau, 78000 Versailles

01 39 53 11 91

http://lheuredesmamans.fr/

Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité
Librairie-Café La Suite : l'alliance parfaite entre culture, plaisir et convivialité

Les Bambins des Tournelles : une micro-crèche à Saint-Louis

$
0
0
Les Bambins des Tournelles : une micro-crèche à Saint-Louis

Le 8 janvier 2015, le quartier Saint-Louis à Versailles comptera une nouvelle micro-crèche, baptisée Les Bambins des Tournelles. Cette structure pourra accueillir dix tout-petits, dans un esprit familial et selon une formule qui favorise la personnalisation de l’attention portée à l’enfant.

Si vous passez devant le 6 rue des Tournelles, juste à côté de la cathédrale Saint-Louis, vous ne verrez pour l’heure qu’un chantier. Derrière le portail se prépare en effet la future micro-crèche « Les Bambins des Tournelles », qui ouvrira le 8 janvier prochain. Cette structure, agréée par la CAF, accueillera à cette date dix enfants. A la différence des grandes crèches classiques, une micro-crèche privilégie les effectifs réduits : sa taille modeste permet d’allier éveil, socialisation et personnalisation du suivi de chaque tout-petit. Autre avantage majeur pour les parents, financier celui-ci : leur entreprise peut prendre en charge une partie des frais de garde, grâce à un crédit d’impôt et à une déduction fiscale.

Une société créée par deux jeunes papas

Les Bambins des Tournelles sera la quatrième crèche ouverte par la toute jeune société « La Cabane des Bambins », créée en 2013 par Baptiste Barillé et Emmanuel Morel. Après une école de commerce, tous deux ont commencé par travailler dans le conseil et les achats. En 2012, ils deviennent chacun papa et se trouvent confrontés à des problèmes de garde dans le 14ème arrondissement de Paris, où ils résident. « Je travaillais alors dans une société de crèches privées, et j’avais appris à connaître ce secteur. Baptiste et moi nous connaissions depuis longtemps et rêvions d’entreprendre : nous avons alors décidé de nous lancer et de monter un premier projet de mini-crèche près de chez nous. Preuve que notre étude de marché était juste et que nous prenions le dossier par le bon bout, dès l’ouverture en mai 2013 cela a très bien fonctionné et nous avons immédiatement embrayé sur un nouveau projet, à Nantes celui-ci » raconte Emmanuel. En février 2014 ouvrent donc « Les Bambins de Talensac », suivis en mars des « Bambins de la Colonie », dans le 13ème arrondissement de Paris. « A chaque implantation, nous veillons à choisir un endroit où l’offre de crèches est peu développée et où le mode de garde que nous proposons semble en phase avec la population. A Versailles, il y a encore des besoins non couverts et je pense qu’une formule à dimension familiale comme la nôtre devrait plaire aux jeunes parents » précise-t-il.

Le parti pris : une pyramide des âges équilibrée, de 3 mois à 3 ans

L’ambition de La Cabane des Bambins est avant tout de répondre aux besoins des familles en matière d'accueil régulier des jeunes enfants, pour permettre aux jeunes parents de concilier vie professionnelle et vie familiale. Chaque micro-crèche est orchestrée autour d'un projet pédagogique visant à favoriser le développement de l’autonomie de l'enfant, développer son éveil sensoriel, stimuler son activité motrice et permettre l’acquisition de la propreté. « Notre parti pris est d’avoir une seule section de dix berceaux, avec une pyramide des âges équilibrée, de 3 mois à 3 ans. Ainsi, les enfants se côtoient comme dans une fratrie, apprennent à vivre ensemble, à faire attention les uns aux autres. L’équipe ne compte que quatre personnes, ce qui permet aux employées de bien connaître chaque enfant et chaque famille. Enfin, partout où nous nous implantons, nous avons également une forte volonté d’interagir avec les acteurs locaux : entreprises et associations (de la petite enfance), bibliothèque, autres crèches, etc » indique Emmanuel Morel. Conçues presque comme des appartements privés, ces mini-crèches jouent les couleurs vives, la lumière et la convivialité, avec une décoration ludique et des jouets fabriqués en France. Chaque espace (sommeil, jeu,…) a son code couleur et son pictogramme, pour que l’enfant apprenne à y évoluer en toute autonomie. Un deuxième cocon familial, en quelque sorte.

Vous souhaitez postuler pour faire partie de l’équipe : recrutement@lacabanedesbambins.fr
Vous êtes parents et la formule vous intéresse ? Consultez les conditions tarifaires et remplissez avec soin ce formulaire.
Vous êtes une entreprise et souhaitez faire bénéficier un de vos salariés de la formule ? Cliquez ic​i pour en savoir plus !

Micro-crèche Les Bambins des Tournelles, 6 rue des Tournelles, 78000 Versailles
Horaires d'ouverture : du lundi au vendredi 8h30 à 19h00
Ouverture le 8 janvier 2015
www.lacabanedesbambins.fr

Les Bambins des Tournelles : une micro-crèche à Saint-Louis
Les Bambins des Tournelles : une micro-crèche à Saint-Louis
Les Bambins des Tournelles : une micro-crèche à Saint-Louis

« Rameau et son temps » à la Bibliothèque de Versailles

$
0
0
« Rameau et son temps »  à la Bibliothèque de Versailles

Tout au long de 2014, Versailles célèbre Rameau, disparu il y a 250 ans, avec pour clore en beauté le programme une exposition-événement intitulée « Rameau et son temps - Harmonie et Lumières ». Présentée dans la magnifique Galerie de l’Hôtel des Affaires étrangères de Louis XV, du 20 septembre 2014 au 3 janvier 2015, cette exposition est organisée par la bibliothèque de la Ville, connue pour la richesse de ses collections, en collaboration avec le Centre de musique baroque de Versailles.

Saviez-vous que Rameau avait écrit un traité de l’harmonie, où il traçait des parallèles entre musique et mathématiques ? Que son premier opéra avait provoqué un scandale, sans que cela l’empêche de devenir le compositeur attitré de la cour, sous Louis XV ? Qu’après sa mort il était tombé dans l’oubli et que ses œuvres ne sont ressorties des cartons qu’après la guerre de 1870, lorsque les compositeurs allemands furent provisoirement bannis du répertoire français ? Et qu’aujourd’hui encore, sa musique suscite une grande créativité chez les metteurs en scènes et chorégraphes modernes ? Tout ceci, vous le découvrirez en visitant l’exposition « Rameau et son temps » à la bibliothèque de Versailles.

Une centaine d’œuvres exposées, dont un magnifique clavecin à double clavier

Destinée à tous les publics, l’exposition se déploie sur les cinq salons d’apparat de la Galerie. Le premier évoque la période parisienne de Rameau, son contexte intellectuel et artistique intense, voire agité (Lumières, querelle des Bouffons…). Les salles suivantes illustrent ses différents opéras, les lieux et les personnages qui les entourent : dessins et maquettes de décors, mises en scène, costumes, instruments de musique, tableaux, objets, livrets et partitions, projections vidéo de spectacles, etc. En tout une centaine d’œuvres dont plusieurs tenues de scène prêtées par le Centre National du Costume de Moulins et un magnifique clavecin Donzelague prêté par le Musée des Arts décoratifs de Lyon.

« Rameau et son temps / Harmonie et Lumières » du 20 septembre 2014 au 3 janvier 2015
Galerie des Affaires étrangères – Bibliothèque municipale de Versailles, 5, rue de l’Indépendance américaine - 78000 Versailles – Tél. : 01 39 07 13 20
Horaires d’ouverture : du mardi au vendredi, de 14h à 18h / Le samedi, de 10h à 18h / Fermé le dimanche et le lundi
Entrée libre
Accès handicapés : la galerie des Affaires étrangères est accessible aux personnes à mobilité réduite accompagnées
Catalogue : Rameau et son temps, harmonie et Lumières, Editions Magellan, 2014, 100p. 20€
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket

Photos © Versailles in my pocket


« Rêve de la Reine » : tout l’esprit de Trianon dans un flacon

$
0
0
« Rêve de la Reine » : tout l’esprit de Trianon dans un flacon

Bientôt à gagner sur la page Facebook du blog, 
une eau de parfum "Rêve de la Reine" !

Historienne spécialiste du parfum, Elisabeth de Feydeau poursuit son aventure de création avec, dans la lignée de ses bougies raffinées, la sortie d’une première eau de parfum baptisée « Rêve de la Reine ». Une fragrance à la fois élégante et moderne qui tisse un fil imaginaire entre l’univers de Marie-Antoinette et celui la femme d’aujourd’hui.

Un flacon bulle en verre laqué or, orné d’une sérigraphie blanche et couronné d’un vaporisateur à poire : c’est ainsi que se présente ‘’Rêve de la Reine’’, première eau de parfum créée par Elisabeth de Feydeau sous sa marque Arty Fragrance. « Ce flacon a été pensé dans un esprit ‘’boudoir’’, avec des codes couleur qui rappellent les lambris de Versailles, à l’image de ceux du salon doré des petits appartements de Marie-Antoinette. La poire, élément distinctif, diffuse des gouttelettes très fines qui procurent une expérience de parfumage unique » explique Elisabeth de Feydeau.

Dans le sillage de Marie-Antoinette

‘’Rêve de la Reine’’ a une longue histoire… En 2005, lorsque paraît son ouvrage sur Jean-Louis Fargeon, parfumeur de Marie-Antoinette, Elisabeth de Feydeau s’associe à Francis Kurkdjian pour reconstituer la recette d’un bouquet aux mille fleurs. « C’était un exercice de style. Il ne s’agissait pas du parfum de Marie-Antoinette au sens littéral, mais d’un parfum qu’elle aurait pu porter, créé pour elle par son parfumeur à qui elle aurait demandé de ‘’mettre Trianon dans un flacon’’ » se souvient Elisabeth de Feydeau. Sur la base de cette fragrance, baptisée ‘’Le Sillage de la Reine’’ et éditée à l’époque en série limitée, l’historienne a commencé par éditer sa bougie ‘’Rêve de la Reine’’, qui est aujourd’hui un des best-sellers de sa collection. « Nous avons eu de nombreuses remontées des clients, me demandant quand je comptais décliner ce parfum en eau de toilette. Toutes ces demandes spontanées m’ont confortée dans l’idée que le moment était venu de passer ce cap » ajoute-t-elle. La créatrice s’est alors attelée à composer, avec Alexandra Monet, parfumeur chez Drom, l’eau de parfum ‘’Rêve de la Reine’’, dont les premiers flacons viennent tout juste d’être commercialisés.

Une création à la fois moderne et raffinée

Cette création s’inspire donc de la formule du ‘’bouquet aux mille fleurs’’, chef-d’oeuvre olfactif du XVIIIe siècle. Ses notes de tête marient bergamote, petit-grain, mandarine, poivre rose et framboise. Côté notes de cœur, on trouve le galbanum, la rose de Mai (essence et absolu) et l’iris. Enfin, les notes de fond nous entraînent dans un monde de cèdre, de santal, de benjoin, de patchouli, de fève tonka et de musc. « Je voulais que cette eau de parfum soit à la fois moderne et raffinée, inspirée par l’élégance du XVIIIème siècle tout en collant parfaitement à la peau de la femme d’aujourd’hui. Je voulais aussi qu’elle laisse un véritable sillage, d’où sa concentration à 18%, soit le maximum possible pour une eau de parfum. Et bien entendu, j’ai privilégié les matières nobles, les essences naturelles et les vrais absolus » indique Elisabeth de Feydeau, qui ajoute « Les parfums possèdent cette magie de nous transporter. En moins d’une seconde leurs nuances, leurs accents, leurs vibrations nous entraînent, tantôt dans le passé, tantôt vers l’avenir. Echo entre le vécu et le revécu, ils provoquent le réveil de la mémoire et sont des bouillonnements de vie ancienne. C’est cette présence dans l’absence, qu’il m’a plu de recréer… »

Deux points de vente exclusifs dont un à Versailles

A peine lancé, ‘’Rêve de la Reine’’ suscite déjà curiosité et enthousiasme : transparence, fraîcheur et tenue sont trois des vocables les plus employés pour le qualifier. A date, l’eau de parfum est proposée en exclusivité au prix de 119€ (100 ml) à Paris chez Jovoy (4 rue de Castiglione, dans le 1er arrondissement) et à Versailles chez Cryst’Al 24 (24 rue Baillet-Reviron). D’autres points de vente suivront dès octobre. Il est également possible de la commander sur la e-boutique Arty Fragrance, qui vient d’ouvrir. Frais de port offerts à partir de 100€ d’achat, avec de nombreuses surprises à découvrir dans les colis…

Plus d’info sur Elisabeth de Feydeau et sur la société Arty Fragrance à découvrir sur http://www.arty-fragrance.com/

Vous pouvez également lire mes précédents article sur des sujets connexes :
Odorama : Versailles se raconte en parfums
‘’La Cour des Senteurs’' : Versailles aux parfums
Versailles : 7 bonnes raisons de découvrir la Cour des Senteurs
Les bonnes adresses d'Elisabeth de Feydeau à Versailles
« Rêve de la Reine » : tout l’esprit de Trianon dans un flacon
« Rêve de la Reine » : tout l’esprit de Trianon dans un flacon
« Rêve de la Reine » : tout l’esprit de Trianon dans un flacon

Méli-Mélo : Versailles la tête dans les étoiles

$
0
0
Méli-Mélo : Versailles la tête dans les étoiles

Connaissez-vous Méli-Mélo ? Installée à Porchefontaine sous un charmant chapiteau, cette association d’amoureux du cirque propose des ateliers et des spectacles, tout en accueillant des troupes en résidence. Soit, au cœur de Versailles, un espace de création artistique qu’il faut absolument découvrir.

Une oasis de verdure au bord de Porchefontaine, un chapiteau, une roulotte et quelques caravanes : bienvenue chez Méli-Mélo où vous accueillent chaleureusement les deux co-directeurs de l’association, Josselin Rouvillois et Laurent Seingier. En préambule, visite des lieux : sur la piste aux étoiles il fait bon malgré la fraîcheur extérieure. Deux acrobates sont en train de répéter, et Laurent se joint à eux quelques instants pour une figure. Car lui comme Josselin, avant tout, est artiste de cirque, même si aujourd’hui il se consacre en priorité à la vie de l’association. « Le chapiteau peut accueillir plus de 270 spectateurs ! Il a été monté en 2005, à l’instigation de Jean-Daniel Laval qui dirigeait alors le Théâtre Montansier. Méli-Mélo a commencé par être une des compagnies en résidence, puis a proposé de reprendre le site lorsque l’association Versailles Chapiteau a cessé de l’exploiter » raconte Laurent. Aujourd’hui, l’équipe compte une dizaine de personnes qui donnent beaucoup de leur temps et d’elles-mêmes, à commencer par la présidente Eva Carbajo.

Une école de cirque ouverte à tous

En reprenant le chapiteau, l’association Méli-Mélo s’est fixé trois objectifs : en faire une école de cirque, y accueillir des artistes en résidence et y donner des spectacles. L’école a rapidement trouvé son public, et aujourd’hui près de 200 personnes viennent, chaque semaine, participer à un atelier. « Cela va de 18 mois à 77 ans » plaisante Laurent avant de poursuivre plus sérieusement « nous démarrons avec des ateliers parents/enfants pour les tout-petits, puis des cours enfants, ado et adultes ». Hors les murs (si l’on peut dire), Josselin et Laurent interviennent aussi dans des écoles, sur tout le département, auprès de publics extrêmement variés : d’une prépa comme Sainte-Geneviève à un foyer EOLE, de Versailles aux Mureaux. Le chapiteau accueille enfin régulièrement des classes dans le cadre du PEAC (Parcours d’Education Artistique & Culturelle).

Des spectacles tout au long de l’année

En vertu du principe de résidence, Méli-Mélo propose son cadre bucolique à des artistes, à l’image de la Mia Compagnie (cirque acrobatique et aérien). « La résidence offre un espace de création et de répétition unique. Nous invitons les compagnies à s’installer ici, certaines occupent d’ailleurs des caravanes sur le site. Cette présence continue leur permet de concevoir et construire leurs spectacles en prenant leur temps. Ainsi la Mia Compagnie se produira trois fois cette saison : en décembre, en avril et enfin en juin, avec sur cette dernière date le spectacle dans sa version aboutie. C’est très enrichissant pour nous et pour les élèves de l’école de suivre leur progression » précise Laurent. Des spectacles justement, il y en aura tout au long de l’année scolaire, à des tarifs très raisonnables (à partir de 8€). Prochaines dates à ne pas manquer : Non, merci !, une pièce de théâtre par La Petite Compagnie (le 11& 12 octobre, dans le cadre du festival Orphée), les Polymorphonies du Groupe Amapola, un spectacle musical (22 et 23 novembre) et la Mia Compagnie, cirque acrobate et aérien (20, 21 et 22 décembre). Un programme qui n’est pas figé et devrait s’enrichir au fur et à mesure de la saison.

Méli-Mélo - 51/53 rue Rémont, 78000 Versailles
Pour tout savoir sur Méli-Mélo, visitez leur site internet et leur page Facebook.
Cliquez ici pour voir le programme des spectacles et ici pour celui des ateliers.
Laurent Seingier & Josselin Rouvillois / photo © Versailles in my pocket

Laurent Seingier & Josselin Rouvillois / photo © Versailles in my pocket

Photo © Pascal Fonteneau

Photo © Pascal Fonteneau

Méli-Mélo : Versailles la tête dans les étoiles
Méli-Mélo : Versailles la tête dans les étoiles

La Vagabonde et sa Fabrique : librairie, atelier et galerie au coeur du quartier Saint-Louis

$
0
0
La Vagabonde et sa Fabrique : librairie, atelier et galerie au coeur du quartier Saint-Louis

Depuis septembre 2014, la Librairie La Vagabonde a rejoint la Fabrique Vagabonde au 40 de la rue d'Anjou, dans les Carrés Saint-Louis. A la fois librairie, atelier et galerie, le lieu se veut un espace d'échange culturel, de création et de découverte, à destination des petits et des grands.

Pour marquer cette nouvelle étape, ci-dessous un diaporama découverte du nouveau cadre. Et si vous voulez en savoir plus sur ces deux concepts (qui aujourd'hui ne font plus qu'un), relisez mes précédents articles sur la Libraire La Vagabonde et sur la Fabrique Vagabonde. L'esprit du lieu n'a pas changé !

La Vagabonde et sa Fabrique
Librairie, Ateliers & Galerie pour enfants
40 rue d’Anjou à Versailles
Tél 09 73 68 88 77
Ouvert de 10h30 (10h
le samedi) à 19h du
mardi au samedi

News et actualités sur le site internet et la page Facebook

Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket

Photos © Versailles in my pocket

Café "La Pêche" : le nouveau QG du quartier Saint-Louis

$
0
0
Café "La Pêche" : le nouveau QG du quartier Saint-Louis

Depuis le mois de juillet, le mythique Café La Pêche vit une nouvelle jeunesse, sous la houlette de deux dynamiques Versaillais, Cédric Quantin et Julien Réaubourg. Déco industrielle, pierres apparentes, terrasse accueillante face à la cathédrale Saint-Louis, on y boit de délicieux cocktails et une sélection de vins, on y refait le monde autour d’une planche de charcuterie ou de fromages. Une vraie réussite qui donne des couleurs au quartier.

Créé au début du XXème siècle, le Café de la Pêche fut d’abord un simple bistro puis, devant l’afflux de pêcheurs fréquentant les points d’eau alentours, au premier rang desquels la Pièce d’Eau des Suisses, il avait au fil du temps ajouté à son offre des articles de pêche. La formule a perduré jusqu’à décembre dernier, puis le lieu a fermé pour se refaire une beauté avant de réouvrir, le 11 juillet dernier, sous la forme d’un bar à cocktails, vins et tapas.

Un emplacement magique dans le quartier Saint-Louis

A l’origine de cette transformation, deux Versaillais de Saint-Louis, amoureux de leur quartier. D’un côté Julien Réaubourg, qui régale les amateurs de grillades depuis bientôt onze ans dans le cadre de son restaurant Chez Lazare (rue de Satory). De l’autre Cédric Quantin, revenu se fixer dans sa ville natale après des expériences hôtelières qui l’on mené du Trianon Palace à la Rochelle, en passant par l’Australie. « Nous avions tous deux envie de monter un bar de ce style dans le quartier Saint-Louis et nous cherchions l’endroit idéal depuis longtemps, sans succès, avant de fixer notre choix sur La Pêche : emplacement magique et potentiel du local, l’équation était parfaite ! » raconte Cédric. Côté déco, le duo a fait la révolution dans le vieux café… Avec l’aide de l’architecte-designer Alexis Bondenet, Julien et Cédric ont totalement repensé le lieu : fini le plaqué bois, bonjour les pierres apparentes et la déco d’inspiration industrielle. « Tout a été fabriqué sur mesure, à partir de tuyaux de chauffage, par une société de métallerie-menuiserie » raconte Cédric. Le bar (superbe) se situe maintenant au centre et a revêtu des panneaux de bois provenant d’un parquet parisien bicentenaire. La terrasse n’est pas en reste et continuera à vivre cet hiver, avec trois chauffages extérieurs et l’arrivée prochaine de plaids polaires pour les frileux.

Cédric Quantin © Versailles in my pocket

Cédric Quantin © Versailles in my pocket

Des cocktails à la charcuterie, une même exigence de qualité

Et à part ça, que boit-on ? La Pêche propose une carte de vins et de bières, avec toujours une « bière du moment » à découvrir et un cocktail du jour à 5€. A noter justement puisque nous parlons de cocktails : ceux-ci sont réalisés de manière traditionnelle, avec un respect scrupuleux des recettes. « Aucune place à l’improvisation, quelle que soit la personne qui dose les ingrédients ! Je suis très à cheval sur le sujet, tout comme sur le choix des produits. Dans votre Mojito, le rhum est un Havana Club, on ajoute le soupçon d’Angostura qui va bien et la bonne quantité d’une menthe de qualité supérieure » indique Cédric, qui prépare déjà les recettes de vin chaud qu’il proposera cet hiver. Pour manger, on a le choix entre des planches de fromages affinés ou de charcuterie ibérique artisanale (de 8 à 12€), une planche de Patanegra (de 16 à 32€) et une planche « du jour » avec un produit fait maison (rillettes de sardine, guacamole…) ou acheté chez un artisan, comme cette terrine de sanglier corse ou ce pâté aux piments verts. Depuis la réouverture, La Pêche nouvelle formule ne désemplit pas, preuve que le concept était attendu par les Versaillais. Le bar est ouvert tous les jours (sauf le dimanche) de 17h à 2h du matin (dernières commandes à 1h30). Chaque jeudi soir un DJ résident, Captain Jack, vient réchauffer une ambiance déjà très conviviale. « Nous prévoyons d’organiser des soirées à thème, à commencer par la fête du Beaujolais nouveau, en novembre prochain. Et nous accueillons aussi les groupes qui veulent faire la fête entre copains. Ne pas hésiter à nous contacter pour des réservations ! » ajoute Cédric en guise de conclusion.

Café La Pêche, 6 rue du Général Leclerc, 78000 Versailles

Du lundi au samedi de 17:00 à 02:00

Téléphone 01 39 50 33 33

Suivez la page Facebook du Café La Pêche pour ne manquer aucune actualité !

Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket

Photos © Versailles in my pocket

Si Versailles m’était conté… en Playmobil®

$
0
0
Si Versailles m’était conté… en Playmobil®

Du samedi 18 au mardi 21 octobre 2014, l’Hôtel de Ville de Versailles accueillera une exposition inédite consacrée aux légendaires figurines Playmobil®. Au programme, des maquettes géantes, des dioramas inédits du château et la vente de Playmobil® d’occasion (au profit notamment d’ATD Quart Monde).

Saviez-vous que 3,2 figurines Playmobil® sont fabriquées chaque seconde, soit un total 2,7 milliards depuis la création de la marque, il y a 40 ans ? Que si toutes se tenaient par la main, elles feraient 3,4 fois le tour de la Terre ? Des chiffres qui donnent le vertige mais qui, finalement n’étonnent guère : en effet, ces petites figurines ont bercé (et continuent à le faire) plusieurs générations de bambins. Nul doute que l’exposition organisée à l’occasion du quarantième anniversaire des célèbres petits personnages devrait donc ravir un large public lors du premier week-end des vacances de la Toussaint.

La manifestation, proposée par l’association GénérationS PlaymO en partenariat avec la Ville de Versailles et Playmobil, aura lieu à l’Hôtel de Ville, du 18 au 21 octobre 2014. A découvrir : des pièces « vintage », des mises en scènes géantes de maquettes, dont des dioramas inédits du château de Versailles, complétés par des plateaux thématiques exotiques, futuristes et fantastiques, tels que ceux de la croisière jaune en Asie, mais aussi des pirates, des fées et même des samouraïs ! Tout au long du week-end, des Playmobil® d’occasion, issus de collections privées seront mise en vente, et une partie des bénéfices reversée à l’association ATD Quart Monde.

 Hôtel de Ville - 4, avenue de Paris - 78000 Versailles 
 Horaires d’ouverture : du samedi 18 au mardi 21 octobre, de 10h à 18h (sauf le samedi de 10h à 13h et de 15h à 18h) 
Entrée libre
Maquette du château de Versailles et de ses jardins © GénérationS PlaymO

Maquette du château de Versailles et de ses jardins © GénérationS PlaymO

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume

$
0
0
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume

Installé à Versailles depuis quinze ans, Guillaume Pahlawan est un amoureux du quartier Saint-Louis, où il habite et où il a créé sa société, Even BD. Depuis janvier 2014, avec son épouse Eléonore et un troisième associé, il a également repris les rênes du magazine Versailles+. Il nous dévoile ses bonnes adresses et ses coups de cœur.

Pourquoi avoir choisi de vous installer à Versailles ?

Pour la plus belle raison qui soit : si je viens pour ma part de Saint-Germain en Laye, ma femme est 100% versaillaise, et le berceau de sa famille se situe dans le quartier Saint-Louis. Versailles m’a tout de suite plu, et je me suis dit que c’était un endroit idéal pour élever nos enfants. A l’époque, j’avais créé une maison d’édition de BD (Theloma), qui n’existe plus aujourd’hui, et lorsque j’ai monté ma deuxième entreprise en 2009, j’ai décidé de la baser à Versailles. C’est ainsi que le siège social et les bureaux d’Even BD sont nichés dans les Carrés Saint-Louis (8 rue Sainte Famille), à trois minutes de mon domicile. Dans ce cadre, j’organise des expositions et des événements autour de la bande dessinée en France et dans les pays francophones. Je suis également responsable de la section BD du Salon du Livre de Paris depuis six ans, et la Ville de Versailles me confie chaque saison une à deux expositions. Ce que j’aime ici ? Le château et son parc ! Je suis un vrai fan, je trouve ce lieu magique, et j’ai l’impression que je n’en aurai jamais totalement fait le tour, puisque je découvre de nouvelles choses à chaque visite. Je suis aussi profondément attaché au quartier Saint-Louis, dans lequel je passe l’essentiel de ma vie versaillaise.

Où faites-vous vos courses ?

Je joue la carte de la proximité au maximum. Chaque samedi, en fin de matinée, c’est rituel : avec Eléonore, mon épouse, nous allons au marché sur le parvis de la cathédrale Saint-Louis. C’est assez intime, dans le sens où il y a peu de commerçants par rapport au marché Notre-Dame, mais ceux qui sont là sont tous de qualité : poissonnier, maraîchers, volailler, produits bio, fleuriste…Pour la viande, je me fournis à la boucherie de mon quartier (77 rue Royale). Juste à côté, je prends régulièrement des fleurs chez Frédéric Baron (également au n°77). Ma baguette vient généralement de La Gerbe Royale (au n°79). Pour les grandes occasions, nous commandons une pâtisserie chez Daubos (à l’angle de la rue du Marché Neuf et de la rue Royale) : depuis notre gâteau de fiançailles, il est le fournisseur officiel de nos fêtes familiales. Enfin, je fais deux fois par mois le plein au Franprix de Satory (rue des Docks) : j’ai horreur des hypermarchés et ce magasin constitue un heureux compromis, une sorte de supermarché de quartier, à taille humaine.

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume

Quelles sont vos boutiques et fournisseurs attitrés ?

Je me rends très souvent chez Gibert (62 rue de la Paroisse), depuis des années, et je crois que je connais maintenant toute l’équipe ! J’y vais pour le plaisir de feuilleter et d’acheter des livres, mais aussi parce que je travaille avec eux dans le cadre de ma société. Bien entendu, le fan de BD que je suis fréquente aussi régulièrement Planète 33 (33 avenue de Saint-Cloud) : le patron, Bertrand (très sympa), y propose une sélection de qualité où se côtoient les dernières nouveautés et des livres d’occasion.
Quand je prépare une expo, je fais aussi marcher les commerces versaillais : EMB Mora (26 rue Richaud), un grossiste où l’on trouve de tout, des guirlandes de Noël aux rouleaux de scotch ; Revert (53 rue de la Paroisse), LA quincaillerie versaillaise incontournable ; L’Eclat de Verre (10 rue André Chénier) pour tous mes encadrements : ils sont très pro et, quand un auteur m’apporte un original à encadrer, je le leur confie les yeux fermés ; enfin, Versailles Repro (4 rue Sainte-Famille), qui réalise des copies de qualité, même dans des dimensions inhabituelles, notamment les plans de grande taille.

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume

Quels sont vos restaurants préférés ?

Pour mes déjeuners de travail, j’ai deux valeurs sûres dans le quartier Saint-Louis : le Saint-Julien (6 rue Saint-Julien) et Le Limousin (1 rue de Satory). Ce sont des endroits où je ne suis jamais déçu et où chacun, quels que soient ses goûts, peut trouver son bonheur. Je vais aussi très souvent manger sur le pouce à la brasserie Le Voltaire (14 rue Royale) et Chez Lazare (18 rue de Satory), où je me régale d’excellentes grillades. Juste à côté de mon bureau, j’aime aussi beaucoup le couscous de chez Marrakech Gourmet (64 rue d’Anjou), à déguster sur place et à emporter, c’est pratique et très bon.

A deux pas de là, j’ai un vrai coup de cœur pour O’Maquis (68 rue d’Anjou). Pour moi qui ai vécu quelques années en Afrique, c’est un plaisir de retrouver l’ambiance et les goûts de là-bas, comme celui de la banane plantain, que le patron Giuseppe vous sert avec un délicieux poulet grillé. Mes enfants adorent aller au Carré aux Crêpes (22 rue d’Anjou), la sortie familiale par excellence ! Plus gastronomique, j’ai récemment découvert L’Instant fraîcheur (7 passage Saint-Pierre), une excellente table. Et dans mon quartier, je recommande deux restaurants qui valent le détour : La Perle Saint-Louis (5bis rue du Marché Neuf, sur le Carré à l’Avoine) où les poissons sont délicieux et L’Epicure (11 rue Saint-Honoré), où l’accueil et la carte sont remarquables.

Enfin, comment ne pas parler du Bar Royal (51 rue Royale) ? Chaque matin, après avoir déposé nos enfants à l’école, nous sommes une dizaine de parents à nous y retrouver pour refaire le monde autour d’un café avant de vaquer chacun à nos occupations. Nous avons notre table attitrée et nous ne manquerions ce moment pour rien au monde.

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume

Quels loisirs pratiquez-vous ?

Nous allons au Cyrano (7 rue Jean-Philippe Rameau) environ deux fois par mois. Nous surveillons aussi attentivement le programme proposé par Château de Versailles Spectacles dans le cadre du château et de l’Orangerie, à l’image du formidable Boléro Ravel/Béjart donné en juin dernier. Chaque mois de septembre (c’est le moment), nous essayons de faire un choix et de réserver des billets pour la saison de théâtre au Montansier (13 rue des Réservoirs).

Enfin, par plaisir et pour me maintenir en forme, je suis inscrit au Tennis Club du Mail (route de Saint-Cyr), qui propose en plein air de mai à octobre les meilleurs terrains de terre battue du coin. Pendant la saison d’hiver, avec mes partenaires, nous migrons vers le club de Marnes-la-Coquette (boulevard de Jardy). Mes enfants, de leur côté, apprennent à jouer à Buc, font de la natation à la piscine Montbauron (7 rue Léon Gatin) et jouent au volley dans le cadre de l’excellent club Versailles Volley-ball.

Quelques liens

Even BD
Versailles+
Gibert
Planète 33
EMB Mora
Revert
L’Eclat de Verre
Versailles Repro
Le Saint-Julien
Le Limousin
Chez Lazare
Marrakech Gourmet
O’Maquis
Le Carré aux Crêpes
L’Instant fraîcheur
Cinéma Le Cyrano
Château de Versailles Spectacles
Théâtre Montansier
Tennis-club du Mail
Haras de Jardy Tennis-Golf (à Marnes la Coquette)
Piscine Montbauron
Versailles Volley-ball

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Guillaume

Comptoir du Chic redore le blason du troc

$
0
0
Comptoir du Chic redore le blason du troc

Parce qu’il ne se retrouvait pas dans l’esprit des sites de vente par petites annonces, Laurent Austin a imaginé un système de troc respectueux de la juste valeur des objets proposés. De sa réflexion est né Comptoir du chic, un site sur lequel chaque bien correspond à un certain nombre de points et où toutes les parties en présence sont gagnantes : le vendeur, l’acheteur et la marque. Installé à Versailles, Laurent souhaite aujourd’hui donner un nouveau souffle à son concept avec l’idée de lui créer des prolongements dans le monde réel, sous la forme par exemple de « troc parties ».

Il y a quelques années, à la naissance de son premier enfant, Laurent Austin déménage. « J’avais un canapé de marque que j’aimais beaucoup, mais hélas il était incompatible avec mon nouveau salon… Je l’ai donc vendu par l’intermédiaire d’un site bien connu, mais j’ai dû le laisser partir à 200€ alors qu’il valait six fois plus. Cette expérience m’a laissé une certaine frustration et m’a conduit au constant suivant : à moins d’étrangler à mon tour un vendeur en négociant impitoyablement le prix d’un autre canapé, j’étais perdant. Admettez que cela n’est ni très éthique, ni très respectueux du consommateur et de la marque » commente-t-il. Quelque temps plus tard, en lisant un ouvrage où l’on parle de troc, une idée lui vient : pourquoi ne pas créer un nouveau type d’échange, basé sur un système de points, sans marchandage à n’en plus finir, mais avec un respect de la juste valeur des choses ?

Bientôt des « troc parties » à Versailles ?

En 2011, après plusieurs années de gestation, Laurent Austin lance enfin son site internet, baptisé Comptoir du Chic. Le concept séduit les consommateurs, et une communauté de membres commence à se construire. Pour des raisons personnelles cependant, courant 2013, le créateur du site met son bébé en « stand-by ». Aujourd’hui en poste dans une entreprise, il souhaite ouvrir le capital du site pour le réactiver, lui insuffler de nouvelles compétences et transformer l’essai. « J’aimerais m’associer à des personnes qui, comme moi, ont envie de promouvoir la consommation collaborative et de s’investir dans le développement du site. Vous aimez les belles choses, vous avez du temps, des compétences en marketing, communication, commercialisation ? La porte est ouverte ! » indique-t-il. Versaillais, Versaillaises, à bon entendeur. L’aventure peut être passionnante, car Laurent non seulement dispose déjà d’un outil performant (son site), mais il fourmille d’idées. « Je suis sûr qu’un tel site, au niveau local, a une carte à jouer. En allant plus loin que la seule idée du troc via internet et en mettant les gens en contact, dans la vraie vie, lors de « troc parties » dans des lieux partenaires au cœur de la ville. »

Pour contacter Laurent Austin : contact@comptoirduchic.com

Comptoir du Chic redore le blason du troc

Via Veneto : la « dolce vita » rue de Satory

$
0
0
Via Veneto : la « dolce vita » rue de Satory

Il existe à Versailles un restaurant qui, depuis trente ans, régale les fins palais amateurs de cuisine italienne. Via Veneto, logé dans la très animée rue de Satory, est presque une institution locale. Il a vu passer plusieurs générations et les enfants d’hier, aujourd’hui adultes, continuent à lui être fidèles. La famille Paulmier, aux commandes depuis l’origine, y propose une cuisine d’inspiration résolument transalpine, à base de produits de qualité, où tout est entièrement fait maison.

Il y a quelques semaines, Via Veneto recevait ses clients pour fêter ensemble les trente ans du restaurant. Il y avait foule rue de Satory, et la bonne humeur des convives témoignait de l’affection qu’ils portent tous à ce restaurant, qui fait partie du paysage versaillais depuis trois décennies. « Alice et Claude, nos parents, ont ouvert Via Veneto en juillet 1984, sur l’emplacement d’un ancien bar créé dans les années 20 » raconte Stéphane, qui a choisi de rester à Versailles toutes ces années, pour travailler en famille au sein du restaurant. Pendant ce temps, son frère Franck s’est construit un parcours international très riche, de Paris à Londres en passant par le Liban, de la Tour d’Argent à Pétrossian, auprès de chefs renommés comme Christian Constant ou Philippe Conticcini. Il y a trois ans, il décide de revenir se fixer à Versailles, dans le cadre du restaurant familial. « Nous avons alors fait de gros travaux en cuisine et créé un laboratoire, au premier étage, afin de pouvoir fabriquer l’intégralité de ce que nous servons sur place, à partir d’ingrédients de qualité supérieure que nous sélectionnons avec soin, auprès des mêmes fournisseurs que les étoilés ! » s’enthousiasme Franck. De la pâte à pizza aux glaces, toute la carte est donc élaborée ici-même, sans additifs ni préparations industrielles. Via Veneto est d’ailleurs à ce jour l’un des trois restaurants de Versailles à pouvoir afficher le label « Restaurant de qualité », reconnu par le Collège Culinaire de France.

De gauche à droite : Franck, Alice et Stéphane Paulmier / Photo © Atelier Numérique

De gauche à droite : Franck, Alice et Stéphane Paulmier / Photo © Atelier Numérique

Que vous veniez avec vos grands-parents ou/et avec vos enfants, tout le monde trouvera son bonheur au menu

La carte de Via Veneto tient en trois pages et c’est un gage d’ultra-fraîcheur. On y trouve huit entrées (à partir de 11€), huit propositions de pâtes fraîches (à partir de 15€), deux viandes (à partir de 21€), dix-sept pizzas (à partir de 11,50€), et chaque jour un plat à l’ardoise : le mercredi, ce sont des ravioli maison, les autres jours, le chef fait selon la saison et son inspiration ! Les amateurs de douceurs ne sont pas en reste, avec des glaces et sorbet maison (7,50€ les deux parfums) et six desserts (à partir de 8,50€). Des rigatoni au gorgonzola à la pizza Margherita, de l’escalope de veau milanaise au tiramisù ou à la glace maison au chocolat noir, tout le monde peut trouver son bonheur. Ouvert tous les jours (sauf le lundi), le restaurant dispose en outre aux beaux jours d’une grande terrasse sur la rue piétonne. Les habitués sont nombreux à fréquenter cette adresse culte, alors pensez à réserver, surtout le week-end !

Via Veneto
20 rue de Satory à Versailles
Téléphone 01 39
51 03 89
Du mardi au dimanche 12h00 – 14h00 / 19h00 – 21h45
Fermé 3 semaines en août et 2 semaines à Noël.

Suivez toute l’actualité du restaurant sur sa page Facebook

Via Veneto : la « dolce vita » rue de Satory
Via Veneto : la « dolce vita » rue de SatoryVia Veneto : la « dolce vita » rue de SatoryVia Veneto : la « dolce vita » rue de Satory
Via Veneto : la « dolce vita » rue de SatoryVia Veneto : la « dolce vita » rue de SatoryVia Veneto : la « dolce vita » rue de Satory
Via Veneto : la « dolce vita » rue de SatoryVia Veneto : la « dolce vita » rue de SatoryVia Veneto : la « dolce vita » rue de Satory

Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles

$
0
0
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles

Lignes droites ou courbes, tiroirs secrets, laque de Chine et bois exotiques… Le château de Versailles présente, du 28 octobre 2014 au 22 février 2015, une centaine de chefs-d'œuvre du mobilier, créés entre 1650 et 1790. La scénographie de l’exposition, contemporaine et épurée, met en valeur la profusion créative et les savoir-faire exceptionnels du XVIIIème siècle, faisant ainsi le lien entre le patrimoine et la tradition vivante des métiers d'art aujourd'hui. Que l’on soit ou non connaisseur, la promenade est un régal pour les yeux.

Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles

Portant sur le génie d'hier un regard d'aujourd'hui, l’exposition « Le 18ème aux sources du design » met en relief le caractère novateur et précurseur du mobilier de cette époque en matière de formes, de techniques, de décors et de matériaux. La centaine de chefs-d'œuvre présentée témoigne de la révolution que cette époque a opérée dans l'histoire du meuble, avec des noms aussi illustres qu’André-Charles Boulle ou Jean-Henri Riesener. Au fil de l’exposition, on découvre ainsi l’évolution des formes : des grands cabinets du milieu du XVIIe siècle jusqu'aux lignes droites de la fin du XVIIIe siècle, en passant par le jeu des courbes du style Louis XV. La mise en scène des pièces, sobre et élégante, moderne et pédagogique, dévoile la beauté et l’ingéniosité des créations. Car à la différence de la peinture, le meuble ne se laisse pas seulement voir, il doit être interprété. Tel un laboratoire optique, chaque pièce est ainsi expliquée grâce à différents outils visuels, allant de la loupe à l'imagerie numérique, mettant en évidence son architecture, son dessin ou son « épiderme ». Des interventions de l'École Boulle permettent au public et notamment aux jeunes générations de comprendre le processus de naissance et de développement d'un meuble d'ébénisterie (une table à écrire) et de menuiserie (un siège). Ponctuée par 18 lettres d’un abécédaire imaginé par Jean Nouvel, brillamment scénographiée, cette exposition vaut le détour, que l’on soit ou non amateur éclairé. Pour le seul plaisir des yeux.

Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles

Aux origines du « design »

Pour mémoire, c'est en 1712 que Shaftesbury introduit dans la théorie de l'art le mot et le concept de « design », unifiant « le dessein » et « le dessin », le processus de conception et de mise en forme de l'œuvre. Pour la première fois, le mobilier est pensé, les meubles sont créés avec une intention particulière, la forme est adaptée à la fonctionnalité et au confort. L'élaboration du meuble au XVIIIe s'inscrit bien aux sources du design, autant dans sa conception d'un projet global que dans sa recherche d'harmonie entre forme et fonction. La transformation du mobilier accompagne l'évolution de la société du XVIIIe, où les commanditaires des grandes pièces de mobilier sont davantage désireux de confort et de luxe. La proximité du concepteur, architecte, ornemaniste et de l'artisan annonce notre moderne « design d'auteur ». Les marchands merciers jouent alors un nouveau rôle d'intervention égal aux décorateurs d'aujourd'hui, suggérant de nouvelles applications au mobilier.

Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles

Métamorphose du mobilier

La recherche sur les formes n'a jamais été aussi aboutie qu'au XVIIIe, où la silhouette du mobilier se métamorphose. Des trésors d'inventivité se déploient et de nouvelles formes apparaissent : consoles, commodes, secrétaires en pente et en armoire. Le mobilier aux formes rigides prend des formes courbes, devient galbé, droit à pieds galbés, reposant sur quatre, six, huit pieds. Les pièces de mobilier se dotent de mécanismes savants et peuvent combiner plusieurs usages. La même recherche caractérise les matériaux : les meubles se couvrent de bois exotiques, de laque, de vernis, d'écaille, de nacre, de porcelaine, de paille.... On s'assied sur du tissu, du jonc, du cuir. Devançant largement les audaces de couleurs des XXe et XXIe siècles permises par les matières plastiques, le XVIIIe a vu naître des meubles rouge, jaune jonquille, bleu turquoise, vert pomme, partiellement dorés ou argentés ... on a aussi, à l'inverse, réduit la gamme colorée aux seuls noirs et or du laque et du bronze, aux seuls motifs naturels du matériau pur, comme l'acajou.

Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles

Informations pratiques

« Le 18ème aux sources du design »
Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 9h à 17h
Du 28 octobre 2014 au 22 février 2015
Château de Versailles
Renseignements 01 30 83 78 00
www.chateauversailles.fr
Livret-jeu pour les enfants disponible gratuitement à l’entrée de l’exposition.

Le sujet vous intéresse et vous aimez les romans historiques ? La trilogie de Jean Diwo « Les Dames du Faubourg » vous emportera dans ce monde, du XIème siècle à la veille de la Révolution. Une suite romanesque à découvrir.

Photos © Versailles in my pocket / © Jacques Liénard

Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Le 18ème aux sources du design : l’ébénisterie en majesté au Château de Versailles
Galerie photo © Versailles in my pocket / © Jacques Liénard
Galerie photo © Versailles in my pocket / © Jacques Liénard
Galerie photo © Versailles in my pocket / © Jacques Liénard
Galerie photo © Versailles in my pocket / © Jacques Liénard

Galerie photo © Versailles in my pocket / © Jacques Liénard

Les incontournables de Versailles in my pocket pour le blog "trois tours de périph"

$
0
0
Les incontournables de Versailles in my pocket pour le blog "trois tours de périph"

Cette semaine, VERSAILLES IN MY POCKET est l'invité du blog "TROIS TOURS DE PERIPH". Au programme : mes incontournables dans la cité royale. Merci à l'équipe de TTDP pour cette "carte blanche". A partager sans modération pour donner envie à tous vos contacts de venir visiter notre belle ville !

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît

$
0
0
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît

Après avoir vécu en Angleterre et en Suisse, c’est à Versailles que Benoît Anger a choisi de s’installer il y a quelques années. Une ville dont il apprécie la taille humaine, la vie de quartier et les nombreuses possibilités de promenade. Il nous confie ci-dessous ses adresses préférées.

Pourquoi avoir choisi de vous installer à Versailles ?

Ma belle-famille est versaillaise depuis le milieu du XIXème siècle, et c’est d’ailleurs ici que je me suis marié il y a sept ans. J’ai travaillé au Club Med pendant plusieurs années, ce qui m’a amené à beaucoup voyager et à habiter successivement en Suisse, puis en Angleterre. Aujourd’hui, je fais partie de l’équipe direction de Skema Business School, qui a des campus à Paris, Lille, Nice, en Chine et aux Etats-Unis, et je bouge pas mal. D’où le désir de pouvoir me poser, au calme, lorsque je suis chez moi. Nous nous sommes donc tout naturellement installés à Versailles : revenir ici après une journée de travail intense, cela constitue une vraie coupure. J’apprécie la taille humaine de cette ville et le fait de ne pas avoir à prendre ma voiture le week-end.

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît

Où faites-vous vos courses ?

Tous les dimanches, en famille, nous allons au marché Notre-Dame : c’est un vrai plaisir de déambuler entre les étals, dans une zone assez sécurisée pour les enfants, sans voitures ou presque. Nous n’avons pas nécessairement de marchands favoris, nous allons au gré de nos découvertes, on trouve toujours des produits de qualité à des prix qui restent abordables. Parmi nos incontournables néanmoins, sous les halles, citons la Fromagerie Le Gall (Carré à la Marée), chez qui nous sommes sûrs de ne pas être déçus : leur Salers en particulier est extra. Pour la viande et charcuterie, je vote Didier Pinault (Carré aux Herbes) et pour les volailles, la palme revient sans contexte à Gentelet (Carré à la Marée). En matière de baguette, mes fournisseurs varient, mais je dois avouer un faible pour la tradition de chez Bigot (38 & 69 rue du Maréchal Foch). Enfin, j’ai récemment poussé la porte de Plantegenet (82 rue de la Paroisse). J’étais intrigué par le Louis XIV en chocolat qui trône en vitrine, et j’ai découvert qu’ils proposaient aussi de la pâtisserie. Leur Saint-Honoré aux fraises, en particulier, est un vrai délice !

Plantegenêt Pâtissier-Chocolatier / Maison BigotPlantegenêt Pâtissier-Chocolatier / Maison Bigot

Plantegenêt Pâtissier-Chocolatier / Maison Bigot

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît

Quelles sont vos boutiques favorites ?

Même si je passe beaucoup de temps sur internet, je reste un grand lecteur de presse papier. Tous les jours quasiment, je passe chez le marchand de journaux situé dans le Carré à la Farine : il propose un choix assez exhaustif et j’y trouve toujours mon bonheur. Si nous avons un cadeau à faire à des amis qui ne connaissent pas Versailles, nous allons volontiers au Roi Soleil (46 rue de la Paroisse), où je craque notamment pour les pâtes de fruits. Leurs emballages sont aussi très emblématiques et participent au plaisir d’offrir. Je ne suis pas fumeur, mais j’aime bien un bon cigare de temps en temps : quelle chance alors d’avoir à Versailles un lieu comme La Havane (21 rue Hoche) ! Ce magasin doté d’une belle cave propose, entre autres, d’excellents cigares cubains et dominicains, mais aussi une large gamme de beaux stylos. Pour les livres je suis assez classique, je fréquente les rayons de Gibert (62 rue de la Paroisse), où j’apprécie notamment leurs sections « livres d’occasion » et BD. Avec les enfants, c’est toujours un plaisir de passer à la Palette de Jeux (17 rue des Deux Portes) : une vraie caverne d’Ali Baba, avec des idées cadeau du sol au plafond. Les magasins de jouets se font rares dans les centres villes, alors il faut soutenir ceux qui sont encore là, contre vents et marées ! Si je dois acheter des vêtements, chemises et chaussures en particulier, j’ai l’habitude de me fournir chez Loding (44 rue Carnot), où les commerçants savent accueillir leurs clients fidèles et sont de bon conseil. Pour l’équipement de la maison, le bricoleur très moyen que je suis apprécie néanmoins d’avoir à proximité de chez lui un magasin comme Revert (52 rue de la Paroisse), où l’on trouve quasiment tout ! Enfin, j’ai envie de faire un petit coup de pub à mon coiffeur, Lounge Coiffure ô masculin (12 rue Montbauron) : non seulement l’équipe est très pro, mais en plus on peut réserver par internet en choisissant son créneau et la personne qui va vous coiffer. On reçoit même un SMS et un email de rappel si on le souhaite, ce qui est parfois très utile !

La Palette de Jeux / Lounge Coiffure Ô MasculinLa Palette de Jeux / Lounge Coiffure Ô Masculin

La Palette de Jeux / Lounge Coiffure Ô Masculin

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît

Dans quels restaurants aimez-vous sortir à Versailles ?

Pour moi, ce sont surtout des restaurants où l’on peut aller en famille, car lorsque c’est professionnel, cela se passe plutôt à Paris. A deux pas de chez moi, nous déjeunons de temps en temps avec plaisir à La Crêperie (85 rue de la Paroisse) : cadre et ambiance sympa, on est bien accueilli et les crêpes y sont d’un excellent rapport qualité/prix. Juste à côté, La Maison de Fuji (79 rue de la Paroisse) propose une cuisine japonaise et d’excellents sushis qui changent des produits de grandes chaînes : c’est souvent complet, et le WE je conseille de réserver. Autre coup de cœur : Tramway Pizza (10 rue Richaud). Tenu par de jeunes patrons dynamiques, cette petite entreprise vous livre à domicile d’excellentes pizzas (et je suis difficile en la matière). Pour prendre un café ou un verre, je m’assieds volontiers au Chat qui Prise (12 rue André Chénier), avec ma pile de journaux achetés en face (voir plus haut). J’aime bien aussi venir à La Cour (7/9 rue des Deux-Portes) : c’est calme, hors des sentiers battus. En rentrant d’une balade au parc avec les enfants, on faisons aussi volontiers une halte en terrasse à La Place (17 rue Colbert, terrasse sur l’avenue Nepveu Nord face au château), pour y prendre une boisson fraîche tandis les enfants se régalent d’une glace ou d’une crêpe : le personnel est agréable et la vue sur le château plutôt jolie.

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît

Quels sont vos loisirs ?

Tout d’abord je souligne la chance incroyable que nous avons à Versailles, avec deux cinémas au cœur de notre ville, il faut les soutenir, ce que je fais pour ma part en allant régulièrement au Cyrano (7 rue Rameau).
Mes enfants s'initient aux arts plastiques dans l’atelier Des soleils et des lunes (3 rue Saint-Simon), qui propose des cours de peinture et de dessin. Tout près de chez nous, la Maison de Quartier Notre-Dame (7 rue Sainte-Sophie) affiche un programme très éclectique avec une large palette d’activités, notamment pendant les vacances scolaires.
De mon côté, je pratique le VTT, avec une prédilection pour la partie du parc située au dessus de la pièce d’eau des Suisses, vers le bois de Satory. J’adore aller jusqu’aux Minières : un itinéraire très fréquenté le dimanche, donc j’y vais plutôt le samedi, et quelle que soit la météo.
En famille, nous assistons parfois à des spectacles à l’Académie Equestre de Versailles (avenue Rockefeller). Quant à nos balades, elles sont classiques et nous mènent dans le parc, avec le regret que de nombreux endroits soient devenus payants, même pour les Versaillais…ce qui limite un peu le périmètre à certaines périodes de l’année. Nous allons aussi souvent flâner dans le Quartier Saint-Louis, en passant par la charmante Cour des Senteurs où nous prenons parfois un goûter, chez Lenôtre (accès par le 8 rue de la Chancellerie).

Suivez Benoît Anger sur Twitter

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de BenoîtVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de BenoîtVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît
Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de BenoîtVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Benoît

« Noël des créateurs » : une boutique éphémère à Versailles

$
0
0
« Noël des créateurs » : une boutique éphémère à Versailles
« Noël des créateurs » : une boutique éphémère à Versailles

Du 25 novembre au 24 décembre 2014, une boutique éphémère ouvre ses portes au 33 avenue de Saint-Cloud, à Versailles. Au total, une quinzaine de créateurs y présenteront leurs collections dans des univers variés : mode, enfants, accessoires, bijoux, déco… A découvrir pour sortir des sentiers battus en cette période d’achats de Noël.

Anyta Remoleur et Marie-Charlotte Bazin

Anyta Remoleur et Marie-Charlotte Bazin

« Noël des créateurs » : une boutique éphémère à Versailles

A deux pas de la place du marché, dans une contre-allée de l’avenue de Saint-Cloud, deux créatrices se sont associées pour monter une boutique éphémère, à l’occasion des fêtes de Noël. Marie-Charlotte Bazin (alias Marie-Capolongo) et Anyta Remoleur (alias Kitdesac) ont aménagé un espace de 110m² qui va accueillir une quinzaine de créatrices d’ici la fin décembre.

Baptisée "Le Noël des Créateurs", la boutique sera ouverte du 25 novembre au 24 décembre. Venez y chercher des idées cadeaux pour toute la famille, dans des styles très différents et pour tous les budgets (à partir de 3€ pour un joli porte-clé).

(ci-contre Strapontin)

Colombe à Paris

Colombe à Paris

« Noël des créateurs » : une boutique éphémère à Versailles

Parmi les créatrices présentes (dans le désordre…)

Colombe à Paris (bijoux – made in Versailles)
Marie-Capolongo (sacs multipoches et accessoires - made in Versailles)
Kitdesac (linge de maison, sacs, pochettes)
La Petite Fabrique de Julie (meubles vintage)
Strapontin (objets ludico-déco, avec notamment le fameux « pouf déco »)
Imani's WAX Secrets (créations textiles & accessoires)
Marie-kartone (cartonnage et scrap)
Aller Simple (bijoux façonnés à la main par des femmes, en direct d’Afrique, d’Afghanistan…)
Les Coutures de Ségo (créations, kits, patrons et cours de couture)
Au royaume des filles (barrettes)
Fées Paillettes (bijoux et accessoires)

A partir de décembre :

Aramance (du 12 au 21 décembre - bijoux alliant cuir et métal argenté)
Ana Gold (du 15 au 24 décembre – bijoux)
Et Louise créa la Feuille, (du 15 au 24 décembre – papiers précieux, cartes, carnets…)
Sophie Larroche et Marine Perrin Céramique (du 15 au 24 décembre – céramiques)

Strapontin & La Petite Fabrique de Julie

Strapontin & La Petite Fabrique de Julie

« Noël des créateurs » : une boutique éphémère à Versailles

Le Noël des Créateurs
Du 25 novembre au 24 décembre 2014
33 avenue de Saint Cloud à Versailles
Du mardi au samedi => 10h-19h
Dimanche 30 novembre & 7 décembre =>10h-14h
Dimanche 14 & 21 décemb
re =>10h-19h
Téléphone : 06 45 45 26 47

Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket
Photos © Versailles in my pocket

Photos © Versailles in my pocket

Viewing all 194 articles
Browse latest View live